Bodric Dalgan deux ans avant

Afin d'être en adéquation avec la chronologie, et avec la pertinence des actions à venir, cette aventure se déroule deux ans avant la chronologie officielle, je crois que ça se dit Y-2. Miles est encore dans la ligue des mercenaires, il peut donc interagir sans risque d'uchronie majeure.


Tatooine, désert de sable, planète aride ou rien ne pousse sauf les truants, et encore il y a ceux qui bossent pour le Hutt, qu'il vaut mieux éviter de dégommer, et ceux qui sont traqués par le lézard verdâtre. Moi j'suis au milieu, un rouage dans la machine. Les impériaux pouvaient bien râdiner leurs beaux costumes tout blanc, et jouer les mariés en goguette, au fond il ne serait jamais les maîtres du patelin, et j'crois que ça servirait pas l'empereur que de mobiliser toute une flotte pour mettre un terme à la criminalité dans le coin. Après tout, tant qu'on se massacre entre nous quel intérêt pour Vador et sa bande de venir faire un brin de causette dans la région, d'autant que question pucelle effarouchée, il y a belle lurette qu'elles tapinaient pour l'un des Caïds locaux.

"C'est pas tout ça j'ai du taff. "

Il se remémorre les quelques contrats juteux, et non officiels transmis dans les estaminets ci et là. Il s'attelle à sa tâche avec sérieux :remarque les détails des tronches patibulaires qui lui font face en noir et blanc, parfois en hologramme, quand le bonhomme a vraiment tapé sur le système du boss, comme ce Solo. Au vue de la prime valait mieux oublier, ce gars là, avec un Wookie en prime, tous les crédits du monde ne valait pas de se retrouver en fertilisant pour sol. James se rabat sur les contrats potentiellement à sa portée, comme ce lascar : Bodric Dalgan, un humain, enfin devez y ressembler il y a longtemps, recherché pour escroquerie. En gros il s'est fait une marge de bénefs un peu trop consistante sur la cargaison, il s'est pris pour un grossiste alors que c'est qu'un détaillant.

Il vérifie son accréditation impériale à exercer le noble métier de chaseur de primes, et jette un coup d'oeil dans les parages pour voir si d'autres guss qui font eux aussi commerce de maccabés ne sont pas dans le secteur. Généralement sont facile à voir, les jeunes ont l'air stressés, leurs visages est luisant de sueurs, les pros prennent un maximum de contrats, histoire de pas perdre de temps dans la besogne, et les moyens comme moi, ben, ils regardent et sondent ce qui est à leurs portées et ceux qui ne l'est pas. James s'écarte et scrute les alentours à la recherche d'un concurrent sur l'affaire.

"Bien ya pas l'air d'avoir foule."

James fouille dans les poches de son pantalon, les doigtes de sa main gauche rencontre quelques crédits, assez pour se payer un verre à la Cantina. Sa tronche est encore méconnue des criminels traînant leurs guêtres là-bas, il pourra y démarrer son enquête de visu.

Il s'assure que le holster de son blaster lourd en synthécuir, est soigneusement huilé, et que son arme coulisse bien, dégraffe en partie sa veste de protection, vérifie l'état lacunaire et avancée de sa barbe...

"Faut pas faire trop smart, on va pas chez les ruppins" pense t'il tout haut, puis il se rend à la Cantina.

Il rentre dans l'établissement, une foule bigarrée et cosmopolite des quatres coins semblent à moitié intéressée par le spectacle que donnent de jeunes Twii'lek se dandinant gracieusement aux sons d'un orchestre composite. James s'assoit dans un coin, une des nombreuses niches que comptent la Cantina, et détaille scrupuleusement une à une les personnes présentes, à la recherche de son homme...

Après t'être identifié et indiqué le motif de ton appel à un officier de communications, l'image d'un homme jeune à la peau légèrement bleutée et au regard pénétrant apparaît à l'écran :

"Jol'Mede, ici. Je vous écoute. Vous semblez avoir de bonnes nouvelles pour moi. Monsieur ... ?"

"Le contrat sur Bodric Dalgan est rempli, j'attend le règlement, 2000 crédits, plus un supplément pour la marchandise. Faudra aussi que vous trouviez quelqu'un pour vous la rappatrier. J'peux vous faire une ristourne, si votre transporteur, me fais quitter Tatooine, moi et ma famille assez vite. Rectification, le plus rapidement possible."

"Rempli ? Rempli comment ?"

"Pour ce qui est de la marchandise, nous serions heureux de vous en débarasser rapidement. Vous me dites que vous êtes sur Tatooine ? Ce criminel a du essayer de la refourguer... Je comprends votre souci de quitter les lieux au plus vite. Soyez assuré que nous ferons le nécessaire pour vous et votre famille, en échange de la valeur de la marchandise."

L'officier consulte quelques données et reprend :
"Nous serons sur place dans environ 2 heures. Prenez la valise et planquez-vous dans un coin. Si possible près de l'astroport. Vous avez des questions ?"

Le visage aussi acéré qu'une lame de couteau, James fixe son interlocuteur, il n'avait jamais eu l'habitude de parler à des bureaucrates, leurs languages
, leurs gestuelles étaient pour lu iune découverte. Sur Mos Esley, la situation était moins précises, le job tu prends, tu fais, tu marchandes le morceau de steack vivant ou refroidi que tu ramènes, t'empoches le tout moins le pot de vin pour te faire bien voir de la limace et t'en reste là, une poignée de main et démerde toi. Fallait noté que le gars était un rapide dans la décision.


"Entrepôt 17, c'est la qu'est votre camelotte, pour rempli, vous aviez précisé sur l'avis de recherche : Dead or Life, ben opté pour la première hypothèse, j'ai bien essayé de vous le ramener vif, les circonstances ont fait que ça n'a pas put se faire dans les règles de l'art. Donc dans deux heures entrpôt 17, détaché un pilote ce sera plus simple, le vaisseau attend. fin de communication"

James se tirent rapidement chez lui, ce qu'il craignait venait d'arriver, une fumée noire s'extirpe de la maison, la mort des quatres rôdiens n'est pas passé comme une lettre à la poste. Un indicateur leur a balancé mon initiative malheureuse. James court se rend discrètement à la planque deux, celle ou il stocke ses plus beau atour, son armure et quelques armes. Sa soeur et sa mère son au courant de cette éventualité de replis. En arrivant au refuge, il n'y vois que sa mère. Les yeux embuée de larmes elle exlique à James, que Corail, a été enlevé par un Twi'leck et une bande porcine l'accompagnant. James identifie le problème comme des gamoréens. Sa soeur enlevée pour finir dans un des bordels du Hutt sur une autre planète. Il allé devoir payé les services de renseignements pour la récupérer, et se mettre définitivement à dos Jaba le Hutt, et tout ça en moins de deux heures. Il ramène sa mère à l'entrepôt 17, lui donne le blaster moyen et part à la recherche de Fruck Tyfie. Il le trouve, après de nombreuse palabre et surtout le délestage de ses 500 crédits, ce dernier lui indique un endroit ou elle pourrait être, gardé par des gamoréens, pas très loin de l'astroport, à vrtai dire dans l'astroport. James s'y rend, l'entrepôt est à l'écart et semble abandonné, personne ne surveille l'entrée. Il cherche une fenêtre, en trouve une, prend appui sur une caisse et regarde à l'intérieur : 10 cages en fer, 6 d'entres elles sont occupées, l'une d'elle retient sa soeur, et il y a trois gamoréens pour surveillé le tout, plus le twi'leck, lequel semble parler à Corail. James fais doucement coulisser son fusil blaster le long de son dos, glisse le canon métallique le long de l'orifice, vise le Twi'leck, le trait lumineux part et frappe le malheureux en pleine tête, transformant irrémédiablement l'anatomie de ce dernier, il a le temps de sulfater un gamoréen par un tir bien placé. Les bestioles verdâtres s'affolent, privées de leur chef, elles ne savent pas quoi faire. James sait d'instinct, que débarquer maintenant, le mettrai au contact avec des adversaires plus coriaces que lui. Les deux restants ont repérés l'origine des traits de blasters, et se ruent vers la porte pour échapper au massacre. Ils vont avertir les leurs. James rangent rapidement son artillerie longue portée pour un confortable DL-44, les deux faces de groins sont maintenant loin. Il entre dans la bâtisse, s'empare des clef magnétique du Twi'leck et ouvre les cages, en commençant par celle de sa soeur. En plus, il ya deux Twi'leck femmes, et trois humaines.

"Faut pas traîner" rajoute t'il laconique.

Tout ce petit monde l'accompagne entrepôt 17. Sa mère est toujours là, plus que 20 minutes à attendre, les plus longue de sa vie, désormais la rupture entre la famille Mortimer et le clan Hutt est consommée.

"Attendez..." Miles se retrouve devant un écran noir. Il frappe du poing sur sa console :
"Dammit ! Je déteste travailler avec des civils arrogants !"

Elena peine à étouffer un sourire alors que Miles se met à faire les cent pas dans la salle de commande du Faucon d'Argent. Il lance :
"Veesh'a ! On fonce vers Mos Eisley. Tant pis pour le Hutt. Elena, trouve-nous une carte détaillée de la ville et un entrepôt 17."

Dans la famille Mortimer, on a raté sa vocation de père en fils, et de mère en fille, à force d'envoyer des guss engraissée les pelouses municipales, on aurait dût être fossoyeur, plutôt que chasseur de prime. Sentant que la situation allait très vite devenir confuse, James organise sa petite famile comme une armée. Il donne le fusil blaster à sa soeur avec ordre de couvrir ses arrières, lui procure le blaster lourd de Dalgan, et récupère un second blaster moyen pour lui. Il donne ensuite un blaster moyen à chacune des anciennes esclaves. Sachant qu'il ne pourrait trop comptait sur elle en cas de coup dur, il les place au fond de l'entrepôt. Sa mère à gauche, Corail à droite, lui prêt de la plate forme du vaisseau, son DL-44 au poing... 5 minutes passent, puis 10, les secondes s'égrainent lentement, trop lentement, de la sueur perle de son front... Enfin les spadassins du Hutt passent à l'attaque, ils sont 5, et hélas ce ne sont pas des gamoréens mais des chasseurs de prime comme lui.

James se emt à découvert, sachant qu'il doit en abattre un maximum avant que les autres ne répliquent, il tente une action un peu folle, il ouvre le feu sur les deux premiers qui se ruent à l'intéeirur, le premier tombe neutralisé, le second à moins de chance et s'écrase frappé mortellement par u nrayon. Les trois autres tépliquent, James se jettent au sol évitant de justesse le premier tir, le second le fauche, tandis que le troisième noirci un coin de sa veste de protection. James est sonné, il ne voit pas le tir précis de sa frangine séché net un des spadassins du Hutt, et sa mère faire un carton sur un quatrième. Corail plus rapide que le dernier des mercenaires, ouvre le feu à deux reprises et touchent nore bonhomme alors qu'il tente d'esquiver le second tir. son coup bien ajusté terrasse le chasseur de prime. Groguis, James met u ncertain temps à s'en remettre. Quand débarque le commanditaire. Il se relève et se masse la nuque visiblement remis de ses émotions. Le hangar est un champs de tir, et les impériaux ne vont pas tarder à rappliquer au vue des piaillements des blasters.

Citation :

Profil des chasseurs de primes

DEXTERITE 3D
Blaster 5d
Esquive 4d

PERCEPTION 2D
Investigation 3d

VIGUEUR 2D+2
Combat mains nues 3d+2

SAVOIR 1D+1
Illégalité 3d+1

TECHNIQUE 1D+2

MECANIQUE 1D+1

équipement veste de protection
Blaster lourd

Déroulement par jet de dès
Les jets 3actions pour James, ce dernier à l'initiative, fais trois actions 2 tirs et 1 esquive, premier tir 15, touche, second tir 15 touche aussi, 21 au jet de dommage contre 9 d'encaissement, 25 au jet de dommage contre 6 d'encaissement. les trois survivants ouvrent aussi le feu en simultanée avec mère Mortimer et Soeur Mortimer, le premier tir, James l'esquive 16 contre 15, les deux suivant touchent, 19 en vigueur contre un shoot à 20; Morjames est sonné, et coup de chance 12 au second tir contre 13 en vigueur. Corail touche 4d au blaster, avec un score de 16, 23 de dommages 10 d'encaissement,, celui qui a eu le malheur datteindre le grand frère est mortellement blessé, Maman Morti, 22 aux dommages contre 13, u nautre est neutralisé. Initiative 11 pour le spadassin, 12 pour Corail et 8 pour môman. Que ne ferait-on pas sans sa famille

"Ka'ounda P'ta Kerros'ta !" La voix paniquée du contrôleur aérien tira un sourire sur les lèvres de Veesh'a : elle venait de virer de bord et quitter le couloir aérien pour survoler la ville. Dans un rugissement aigu, le Faucon d'Argent survola les rues et les bâtiments à basse altitude en direction du secteur industriel.
"On a de la compagnie ! Un flotteur. Je m'en occupe !"
Sans prévenir, elle lâcha une rafale de laser sur le véhicule. Surpris, celui-ci n'eut pas le temps de répliquer avant d'être touché. Son pilote choisit de prendre de l'altitude avant de prendre la fuite, laissant un peu de fumée derrière lui.
"C'est bon ! On arrive !"

La porte du sas s'ouvrit sur les toits qui défilaient en contrebas. En armure de combat, Miles, Elena et le caporal-chef Perosta activèrent leurs armes.
"Veesh'a : vol stationnaire, garde un oeil sur le radar. Dégage si la cavalerie arrive, on se retrouvera sur la place centrale. Vous deux en rayons paralysants. N'hésitez pas à faire feu. Je ne sais pas sur qui on va tomber. La priorité, je vous le rappelle, c'est la grosse malette bleue."
Les deux autres acquiéscèrent d'un signe de tête et Miles sauta sur le toit de l'entrepôt 17.
Ils pénétrèrent par la porte d'accès et descendirent un escalier métallique qui surplombait l'espace de stockage, les pas lourds des exosquelettes résonnaient. Autour du vaisseau de Dalgan, quelques silhouettes étaient en position défensive. Miles activa son haut-parleur extérieur :
"Ici Jol'Mede, où est la malette, je vous prie ?"

James regarde les stormtrooper de la ligue des mercenaires débarquer avec armes et bagages, un rictus amusé et soulagé à la fois sur le visage. Il désigne le vaisseau du contrebandier du doigt.

"Feriez mieux de baisser le porte voix, j'suis pas sourd. Et si l'Empire n'était pas au courant de votre arrivée... Maintenant c'est fait."

Il signe aux jeunes esclaves et sa famille de monter dans l'appareil. Il revient à Miles.

"J'ai besoin d'un pilote pour quitter ce bled, vous sélectionnerez le choix de votre destination finale à l'intérieur, vous récupèrerez la mallette quand moi et ma petite famille seront à l'abris. C'est à dire loin d'ici, très loin même si c'est possible. "

Il fait signe qu'il monte dans l'appareil du contrebandier, lentement, le blaster lourd rangé dans la ceinture de son holster. Il se retourne, s'allume une cloppe, et regarde Jol'Mede (musique de Sergio leone pour une poignée de dollar)

"Vaut mieux faire fissa, votre vaisseau est mal garé, et les impériaux en plus des milices du Hutt vont pas tarder à rappliquer, et je doute que la contredance soit de 750 crédits standards."

Miles écoute avec mauvaise humeur les exigences du chasseur de primes. Pas question que la malette quitte la planète par un autre moyen que le Faucon d'Argent. Pas question non plus de confier sa vie à cet engin poussif. D'un mouvement des yeux dans son casque, il change le canal de communication :
"Perosta, un tir de mini-missile sur la tuyère d'échappement. Cette épave n'ira nulle part."

Promptement, le soldat s'exécute : d'un mouvement du bras, il dirige et lance un missile qui file vers l'arrière du vaisseau, créant une explosion qui secoue l'engin avant qu'une fumée noire ne se répande dans l'entrepôt.

Miles reprend en mode HP :
"Ce tas de ferraille nous retarderait. Tout le monde à bord du Faucon d'Argent, avec ma parole d'honneur que toutes vos demandes seront honorées."

Sur le canal protégé, Elena commente sobrement :
"Je doute que ça suffise, Miles. Et nous n'avons pas le temps de palabrer."

Les jeunes filles quittent le vaisseau en hurlant de terreur au bruit de l'explosion, la mère de Morti et sa soeur reste à l'intérieur. James à voix haute :

"M'an, Corail, c'est l'énervé à la peau bleu qui fait de l'esbrouffe, peu pas faire péter le vaiseau, sans ce qu'il contient dedans. Vous pouvez descendre... Ramenez moi la malette bleu."

Il crache le reliquat de mégot qu'il machouillait plus qu'il ne le fumait, attand que sa petite famille lui remette le précieux porte document. Puis nonchalemment il s'avance de Miles, la main sur le blaster lourd, il se porte à hauteur du gars, neutre, il ajoute :

"Ca fera 20 000 crédits de plus, c'est le prix du tas de ferraille, rectification de l'épave. C'est pas négociable. T'auras ta malette à la livraison des 22 000 biftons et lorsque nous seront arrivé à destination, c'est à dire loin de ce trou à rat.

Tu devrais écouter la d'moiselle, elle a de la jugeotte"

Il attrape le communicateur de Miles, braquant son regard inexpressif dans le sien

"C'est bon, votre adjudant est ok pour débarasser les lieux."

Puis le range dans la poche de la veste du commandant du faucon d'argent.

[HJ : Les communications entre les membres du commandos sont supposées être 'privées', entre les casques de chacun. Donc, à mon avis, tu n'es pas censé savoir ce que se sont dit Elena et Miles. De même pour les communicateurs, ils sont intégrés, donc pas 'confiscables' ^^
Et puis j'imaginait les casques 'complets', c'est à dire qu'on ne voit pas les visages. Mais comme ce n'était pas précisé, c'est normal que tu imagines autre chose de ton côté.
Je précise (au cas où tu débuterais) que ce genre de malentendus est courant en RP par forum, rien de grave donc, il suffit d'expliquer et faire preuve de bon sens pour s'arranger entre joueurs. En cas de litige, il est toujours possible de demander l'arbitrage d'un MJ extérieur à l'action, mais c'est très rare d'en arriver là. Fin du cours, rangez vos cahiers ^^]

Satisfait de l'effet produit, Miles regarde s'avancer le chasseur de primes qui s'arrête à quelques centimètres de son casque. Mortimer réalise en approchant la taille de l'amiral : Miles lui arrive à peine aux épaules. Un nain ou un enfant ? L'armure qu'il porte a du être faite sur mesure, et donc à prix d'or.

Miles baisse le volume pour s'adresser aux civils :
"Tous ceux qui veulent quitter cette planète nous suivent. Vite."
Il fait un geste pour indiquer à tous la porte qui s'ouvre sur le toit du bâtiment.

[HRJ] : Ok, j'imaginais pas la chose ainsi, je voyais d'avantage un communicateur portable... Pour le casque idem, j'imaginais pas un heaume mais un morion, quelque chose de léger, laissant la panacée de l'armure intégrale aux stormtropers et à quelques chasseurs de prime : ty pe Boba Feet.[/HRJ]

Les demoiselles montent, James suit, sans trop se presser. Il s'installe dans le faucon d'argent, tire une clope de son étui à cigarette et se la grille consciencieusement, la malette sur les genoux.

Direction ou tu veux, soit on reste sur cette partie du forum pour finir l'aventure et l'intégration à la ligue soit on va ailleurs ou on créait une autre aventure à toi de voir Miles

Couverts par Perosta et Elena, les civils grimpent un à un dans le Faucon d'Argent. Miles ferme la marche, pressant le chasseur de primes qui prend son temps :
"Ho ! Vous avez besoin d'une canne ? Ou bien vous voulez prendre des holos-souvenirs ?"

Une fois tout le monde à bord, le vaisseau prend de l'altitude, direction l'espace.